Je ne veux pas te pété ta balloune mais, oui malheureusement!

Avant l'introduction des ces machines, tu n'avais pas besoin une telle formation.
La raison de cette formation c'est parce que la Garde Côtière et les policiers (SQ, OPP, GRC, etc) qui naviguait sur l'eau ont eu plusieurs plainte. Il y eux plus d'accidents grave qui se sont arrivé après l'introduction des moto-marines.
Alors, je vais me répéter comme mentionné plus haut, La Garde-Côtière et les policiers secteur marine ont collecté des résultats assez alarment, alors Transport Canada ont exigé une telle formation pour sensibilisé le monde et rendre les eaux plus sécuritaire.
Tu sais, tu peux avoir ton permis de char et chauffer tout croche aussi!
Questions de sécurité et de santé. Le Comité a déjà reçu, je crois, le rapport détaillé de la recherche que notre pendant aux États-Unis, la American Canoe Association, a menée, intitulée Hostile Waters: The Impact of Personal Watercraft Use on Waterway Recreation. Puisqu’il s’agit de la recherche la plus complète sur la présence problématique des motomarines dans nos plans d’eau nord-américains, j’exhorte le Comité à lire le document attentivement puisque la plupart, sinon toutes, les questions qui y sont soulevées s’appliquent également aux eaux canadiennes. Plusieurs détails de la section qui traitent des questions de sécurité ont des incidences peu rassurantes. Permettez-moi d’en exposer quelques-unes :
Aux États-Unis, la proportion d’accidents de bateau rapportés impliquant des motomarines est plus élevée que la proportion d’accidents de la route rapportés impliquant la conduite avec des facultés affaiblies. La GRC et la Direction générale du sauvetage et de l’intervention environnementale de la Garde côtière canadienne, tout comme le Système canadien hospitalier d’information et de recherche en prévention de traumatismes, peuvent corroborer les chiffres comparatifs des proportions au Canada.
Aux États-Unis et au Canada, les motomarines sont surtout présentes dans des accidents qui mettent à risque d’autres utilisateurs des plans d’eau, comme des collisions avec des bateaux, des baigneurs, des adeptes du ski nautique, des véliplanchistes et des jetées.
Même si les motomarines ne représentent que 10 % de toutes les embarcations circulant dans les eaux américaines et canadiennes, elles sont présentes dans 55 % de toutes les collisions entre embarcations.
Le nombre de motomarines impliquées dans des collisions avec d’autres embarcations chaque année est d’environ 1 000 en moyenne de plus que le nombre de bateaux à moteur ouverts qui sont impliqués dans de telles collisions, même si les bateaux à moteur ouverts sont plus nombreux que les motomarines dans une proportion de 8 à 1.
Plus de 70 % de tous les accidents de motomarines sont des collisions d’une forme ou d’une autre.
Les motomarines sont trois fois plus susceptibles d’être impliquées dans des accidents où un baigneur est frappé dans l’eau que tout autre type d’embarcation.
Les caractéristiques du concept de la motomarine touchant la direction, conjuguées à l’absence de possibilité de freiner contribuent à de nombreux accidents de motomarine.
Le faible tirant d’eau et la maniabilité des motomarines leur donnent la capacité unique d’être conduites à haute vitesse en eau peu profonde ou dans des endroits confinés où elles sont plus susceptibles de menacer la sécurité et la jouissance des autres utilisateurs des plans d’eau — sans mentionner les préjudices infligés à la faune et aux rives dans de telles eaux peu profondes.
http://www.parl.gc.ca/Content/SEN/Commi ... crca-f.htm